Accueil
Rechercher dans les textes édités
> AMPERE, Essai sur la philosophie des sciences, t. I, 1834.
|<       <      Page 24      >      >|
Aller à la page
s'intéresser également aux discussions qui partagent les diverses écoles en histoire naturelle, 
en médecine, en philosophie, en littérature, en politique, etc. ; comprendre et apprécier 
jusqu'à un certain point ce qu'il entend dans une séance académique, ce qu'il lit dans un journal 
ou dans un compte rendu des travaux d'une société savante ; et lorsqu'il aurait le bonheur de se 
trouver avec ces hommes qui ont jeté un si grand éclat dans les sciences, retirer plus de fruit de 
leurs conversations instructives et profondes. 
Enfin, les membres eux-mêmes de ces sociétés, quelquefois étrangers aux travaux de leurs 
confrères, se plairaient peut-être à trouver dans l'ouvrage dont je parle tout ce qui leur serait 
nécessaire pour écouter avec plus d'intérêt les savantes communications des membres, soit d'une 
même classe, soit surtout d'une classe différente. 

§ V. Plan de cet ouvrage.
Si, pour conduire le lecteur aux résultats auxquels je suis parvenu, je voulais tracer ici la route que j'ai suivie moi-même, je ne lui offrirais qu'un chaos de tentatives d'abord infructueuses, de fréquens retours sur mes pas. Je dois cependant m'en rapprocher autant qu'il me sera possible, pour présenter mes idées dans l'ordre le plus naturel. Voici, pour cela, la marche que je suivrai.
|<       <      Page 24      >      >|
Aller à la page
Télecharger le PDF en format texte ->Créer son extrait avec MonPDF Marquer cette page avec votre compte ICEberg+

© CRHST/CNRS, 2005 / Développé sous ICEberg 4.0.2 / hébergement CC-IN2P3 / Directeur de publication : Christine Blondel, responsable informatique : Stéphane Pouyllau