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Publications > AMPERE, Essai sur la philosophie des sciences, t. II, 1843.
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neté nationale, de la raison ou de la nécessité des choses, d'un contrat explicite ou tacite 
entre les peuples et ceux qui sont appelés à les gouverner. De là une dernière science du 
troisième ordre qui a pour but de résoudre ces grandes questions et que je désignerai sous le nom 
de Théorie du pouvoir. 
b. Classification.
Les quatre sciences que nous venons d'énumérer et de définir, comprennent toutes les vérités relatives aux moyens par lesquels les gouvernemens conservent les sociétés, en assurent la paix au dedans et l'indépendance nationale au dehors ; leur réunion constitue une science du premier ordre : LA POLITIQUE. Celle-ci se divise en deux sciences du second ordre. J'ai donné à la première, qui se compose de l'ethnodicée et de la diplomatie, le nom de SYNCIMENIQUE, tirée de σνγ?ε?μενα, traité, convention, ainsi que je l'ai expliqué pages xliv et xlv ; et à la seconde, formée par la réunion de la cybernétique et de la théorie du pouvoir, celui de POLITIQUE PROPREMENT DITE, comme on le voit dans le tableau suivant : Science du Ier ordre. Sciences du 2e ordre. Sciences du 3e ordre. {Ethnodicée. {SYNCIMENIQUE {Diplomatie POLITIQUE {Cybernétiques {POLITIQUE PROPREMENT DITE {Théorie du pouvoir.
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