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Publications > AMPERE, Essai sur la philosophie des sciences, t. I, 1834.
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tiennent à l'agriculture, lorsqu'il s'agit de ces derniers, tandis que, quand il est question des 
premiers, elles doivent se partager entre la zootechnie et les sciences médicales, il ne reste plus 
qu'une difftculté : A quel caractère distinguera-t-on ce qui doit être placé dans la 
zootechnie, de ce qui doit l'être dans les sciences médicales ? La solution de cette question 
se trouve dans un principe analogue aux considérations dont je me suis servi, pages 99, 100, 120 et 
126, pour établir les limites qui séparent l'oryctotechnie, l'agriculture et la zootechnie de la 
technologie. Ce principe consiste en ce que ceux qui ont besoin d'étudier une science doivent 
trouver dans les ouvrages qui en traitent tout ce qui leur est nécessaire de savoir pour atteindre 
le but qu'ils se proposent. Ainsi, c'est dans un traité de zootechnie qu'on doit faire connaître 
l'utilité que ceux qui nourrissent les animaux peuvent retirer, soit de l'emploi de quelques 
substances qui ne font pas partie du régime habituel auquel ils les soumettent, soit de certaines 
opérations chirurgicales qu'ils sont dans l'usage d'exécuter eux-mêmes ; les divers régimes 
qu'on doit préférer suivant l'espèce de produit qu'on veut en retirer et la différence des races 
; les précautions à prendre pour prévenir les maladies qui les menacent, et enfin, les moyens de 
remédier aux accidens pour lesquels on peut se dispenser d'avoir recours au médecin vétérinaire. 
Mais, c'est dans 
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