tiennent à l'agriculture, lorsqu'il s'agit de ces derniers, tandis que, quand il est question des
premiers, elles doivent se partager entre la zootechnie et les sciences médicales, il ne reste plus
qu'une difftculté : A quel caractère distinguera-t-on ce qui doit être placé dans la
zootechnie, de ce qui doit l'être dans les sciences médicales ? La solution de cette question
se trouve dans un principe analogue aux considérations dont je me suis servi, pages 99, 100, 120 et
126, pour établir les limites qui séparent l'oryctotechnie, l'agriculture et la zootechnie de la
technologie. Ce principe consiste en ce que ceux qui ont besoin d'étudier une science doivent
trouver dans les ouvrages qui en traitent tout ce qui leur est nécessaire de savoir pour atteindre
le but qu'ils se proposent. Ainsi, c'est dans un traité de zootechnie qu'on doit faire connaître
l'utilité que ceux qui nourrissent les animaux peuvent retirer, soit de l'emploi de quelques
substances qui ne font pas partie du régime habituel auquel ils les soumettent, soit de certaines
opérations chirurgicales qu'ils sont dans l'usage d'exécuter eux-mêmes ; les divers régimes
qu'on doit préférer suivant l'espèce de produit qu'on veut en retirer et la différence des races
; les précautions à prendre pour prévenir les maladies qui les menacent, et enfin, les moyens de
remédier aux accidens pour lesquels on peut se dispenser d'avoir recours au médecin vétérinaire.
Mais, c'est dans
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