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Publications > AMPERE, Essai sur la philosophie des sciences, t. I, 1834.
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d'élémentaire, c'était toujours à la première science du second ordre que cette épithète 
s'appliquait nécessairement, tandis qu'il n'y avait pas de raison pour que ce fût la première ou 
la seconde à laquelle convint celle de proprement dite, en sorte que la signification précise du 
nom adopté pour la science du premier ordre et la nature de l'objet auquel elle se rapportait, 
devaient seules être consultées à cet égard. 

§ I. Sciences du troisième ordre relatives aux effets produits en général par tes divers agens et les différentes circonstances qui peuvent modifier tes phénomènes vitaux dans l'homme et dans les animaux qu'il s'est soumis.
Occupons-nous d'abord de l'influence des agens et circonstances par lesquels nous produisons ou qui produisent malgré nous des modifications dans l'organisme, soit, dans l'un et l'autre cas, qu'elles nous soient utiles ou nuisibles ; car, ainsi que nous allons le voir, en énumérant ces agens, il n'est pas moins utile de connaître les avantages que nous pouvons retirer des premiers, que les suites fâcheuses que peuvent avoir les seconds, pour se servir des uns et éviter les autres, la distinction qu'on établit entre ces agens ou circonstances, suivant qu'ils sont utiles ou nuisibles, ne pouvant
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