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Publications > AMPERE, Essai sur la philosophie des sciences, t. I, 1834.
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que nous en ferons l'énumération. Dès lors ces sciences du troisième ordre, appartenant à une 
même science du premier, sont plus indépendantes entre elles que dans les embranchemens 
précédens, et lorsqu'on les groupe deux à deux pour en former des sciences du second ordre, on ne 
saurait dire qu'une de ces dernières soit plus élémentaire que l'autre. Ne pouvant donc plus, 
comme je l'ai fait jusqu'ici, désigner une des deux sciences du second ordre comprises dans une 
même science du premier, par le même nom que celle-ci en joignant à ce nom celui d'élémentaire, 
il a fallu recourir à un autre mode de nomenclature. Je craignis d'abord d'être obligé de créer, 
pour celles de ces sciences du second ordre auxquelles l'usage n'avait assigné aucun nom, de 
nouveaux mots tirés de la langue grecque, moyen dont je ne me suis servi dans ma classification que 
quand cela m'a paru indispensable ; mais je m'aperçus bientôt que parmi les deux sciences du 
second ordre comprises dans chacune de celles du premier que réunit l'embranchement dont il est 
question dans ce chapitre, il y en avait toujours une .qui se rapportait plus particulièrement à 
l'objet que cette dernière considérait d'une manière plus générale, en sorte qu'elle pouvait 
être désignée par le même mot, suivi de l'épithète proprement dite, et que l'autre 
science du second ordre exigeait seule un nom à part ; seulement, tant que j'avais employé celle 
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