Accueil
Rechercher dans les textes édités
Publications > AMPERE, Essai sur la philosophie des sciences, t. I, 1834.
|<       <      Page 96      >      >|
Aller à la page
OBSERVATIONS. Il est impossible de méconnaître, dans ces quatre sciences du troisième ordre, une 
nouvelle application de nos quatre points de vue, autoptique, cryptoristique, etc., précisément 
comme dans les quatre sciences du troisième ordre qu'embrasse la technologie. Voyez pages 84 et 85. 

§ V. Définitions et classification des sciences du premier ordre qui ont pour objet les propriétés inorganiques des corps et leur arrangement dans le globe de la terre.
Après avoir parcouru toutes les sciences du premier ordre qui se rapportent à cet objet général, et qui doivent, par conséquent, être réunies en un même embranchement, il nous reste à les définir indépendamment des sciences du troisième ordre renfermées dans chacune d'elles, à en déterminer l'ordre et les limites respectives, et à les classer.
a. Énumération et définitions.
1. Physique générale. Dans toutes les sciences qui ont précédé la physique générale, le monde était considéré dans son ensemble ; celle-ci examine en détail les propriétés des corps inorganiques dont se compose ce vaste ensemble ; et quelle que soit l'analogie qui existe entre elle et l'uranologie, ce caractère suffit pour tracer entre deux sciences, d'ailleurs si voisines, la ligne de démarcation qui les sépare, et distingue en même temps l'embranchement des sciences mathématiques de celui des
|<       <      Page 96      >      >|
Aller à la page
Télecharger le PDF en format texte ->Créer son extrait avec MonPDF Marquer cette page avec votre compte ICEberg+

© CRHST/CNRS, 2005 / Développé sous ICEberg 4.0.2 / hébergement CC-IN2P3 / Directeur de publication : Christine Blondel, responsable informatique : Stéphane Pouyllau