Ampère, André-Marie à ?
Paris,
[fin 1813 – début 1814]
[beaucoup de mots sont en abrégé ; les mots manquants sur le manuscrit sont
précédés d'un astérisque]
Monsieur le Maire,
Je reçois à [l'instant] la lettre par [*laquelle] vous m'annoncez que je dois faire partie de la
compagnie des grenadiers du 3ème bataillon de la [g. n. jedre] [sic : garde
nationale … ?]. Je suis disposé dans tous les [temps] et aujourd'hui plus que
jamais, à acquitter la dette d'un [véritable] [français], mais je dois
vous faire [observer] qu'ayant eu dans l'enfance un bras fracturé qui n'a
jamais [*guéri], il en est résulté pour ce bras un état de
[faiblesse] et de [difficulté] qui me met dans [l'impossibilité] de faire les
divers [mouvements] qu'exige l'exercice [militaire]. Je puis produire si vous
l'exigez à [l'appui] de cette [assertion] les certificats qui m'ont obtenu
l'exemption de tous services militaires, quoique je fusse de la [première]
[réquisition], et enfin un congé de réforme définitif.
J'ai [l'honneur] d'être avec la plus [haute] [considération], m. le
maire…
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Source de l'édition électronique de la lettre : brouillon manuscrit Paris, Archives de l'Académie des sciences, fonds Ampère, carton XXVII [Une photocopie de ce brouillon dans la chemise 393 bis.]
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Lien de référence : http://www.ampere.cnrs.fr/amp-corr1054.html
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